Membre du Panthéon
Bev Boys
Intronisé en 1979
Détails membres
Faits saillants
A remporté 34 Championnats canadiens
Est votée athlète canadienne de la décennie
Jeux du Commonwealth à Kingston- l'argent dans l’épreuve du 10m, le bronze dans l’épreuve du 3m
Aux Jeux de 1968 à Mexico - 4e place dans l’épreuve de la tour 10m
Deux fois récipiendaire du Trophée Bobbie- Rosenfeld de la Meilleure athlète canadienne
Jeux du Commonwealth d'Edimburgh - l'or dans l’épreuve du 10m et le 3m
Jeux du Commonwealth à Christchurch - l'or dans l’épreuve du 10m, l'argent dans l’épreuve du 3m
Biographie
Le nom de Beverly Boys est synonyme de plongeon au Canada vers la fin des années 1960 et durant la majorité des années 1970. Tout au long d’une carrière qui s’échelonne sur dix années, Beverly domine les épreuves en tour de 10m et au tremplin 3m, remportant 34 Championnats canadiens et autres titres lors de compétitions internationales aux États-Unis, en Grande-Bretagne, en Russie et en Allemagne de l’Est. Dans les épreuves des Jeux du Commonwealth, Beverly est une véritable aimant à médailles. Elle remporte trois médailles d’or, deux aux Jeux en Écosse en 1970 et une aux Jeux de 1974 en Nouvelle-Zélande. En tout, elle s’empare de trois médailles d’argent additionnelles et d’une de bronze. Plongeuse de niveau mondial, elle participe à trois Jeux Olympiques. Elle donne son meilleur aux Jeux de 1968 à Mexico. Alors en 19e place juste avant les finales, la jeune plongeuse sait qu’elle doit faire mieux que d’impressionner les juges si elle veut élever son rang dans l’épreuve du 10m. Elle doit leur exécuter le plongeon de sa vie. Elle escalade la tour et sort son arme secrète – le saut périlleux et demi avec triple tire-bouchon, un plongeon inscrit à 2,9 degrés de difficulté. Dans une performance impeccable, elle se surclasse elle-même jusqu’à la 4e place et reçoit la note la plus haute à être décernée à l’époque à une plongeuse olympique canadienne. Pour ses superbes exploits, Beverly Boys est deux fois récipiendaire du Trophée Bobbie- Rosenfeld de la Meilleure athlète canadienne, en 1968 et en 1969. On la nomme aussi Athlète canadienne de la décennie (dans les années 1960). Après sa retraite, en 1977, elle demeure impliquée dans cette discipline en tant que juge et administratrice des sports.